Connexion Matawinie annonce que de nouveaux secteurs sont maintenant desservis par le réseau de fibre optique à Saint-Félix-de-Valois. Le secteur situé dans le quadrilatère de la rue Principale (131), du chemin Joliette (131), de la rue Michel, et la rue Henri-L.-Chevrette est dorénavant branché au réseau de la MRC de Matawinie. Ce secteur s’ajoute au domaine des Beaux-Arts dont les résidents ont reçu une communication de Cooptel afin de les informer qu’ils peuvent désormais s’abonner à leurs services de télécommunications.
« Nous sommes très heureux d’annoncer l’ouverture du réseau de fibre optique à un nouveau secteur de Saint-Félix-de-Valois qui permet de rejoindre 871 portes, souligne Audrey Boisjoly, mairesse de la ville. C’est un très gros projet et nous avons très hâte d’enfin offrir un réseau de fibre optique de qualité à l’ensemble de notre territoire. »
Des nouvelles des autres secteurs.
Près de 1000 portes supplémentaires (secteur au nord de la rue Principale et celui du bas du village) devraient être branchées d’ici la fin juillet ou le début août. Les secteurs en périphérie de la municipalité devraient également tous être branchés d’ici la fin de l’été à l’exception de quelques adresses dont certains travaux supplémentaires seront nécessaires (90, 96, 120 à 126 rue Beaulieu et 60, 70, 90 et 168 rue Suzanne).
« C’est majeur comme impact pour notre municipalité, sa qualité de vie et son développement économique, social et humain, ajoute Mme Boisjoly. La pandémie a bien illustré les disparités des services Internet au Québec et le frein que ça représente au développement des régions. »
Branché ou pas?
Pour savoir si sa maison est branchée, un citoyen n’a aucune démarche à accomplir. Dès qu’il reçoit une communication de Cooptel par la poste l’invitant à consulter les forfaits, c’est qu’il est branché. Pour suivre l’évolution du projet, les Féliciens peuvent consulter la carte interactive du territoire via le https://www.connexionmatawinie.org/carte-interactive .
Il faut noter que les zones sont des schémas afin de représenter l’avancée des travaux et non une représentation exacte de la réalité.
